Weed

Pepito, Booyah et Bolo   đŸș    04/08/2010

La Weed

Imbécile heureux espérant beaucoup de cette biÚre de merde

Booyah : Ya quelque chose quand mĂȘme !
Pepito : Wouais, moi j’sens rien, j’ai l’impression de boire de l’eau amùre effervescente.
Bolo : Y’a un petit gout qui frappe la gueule dùs que tu la mets en bouche, mais qui dure pas.
Booyah : Ça,change hein, c’est vrai que ya des notes discrùtes.
Pepito : Putain ce chat ! Il veut bouffer la mort au rat il fait chié !
Booyah : DiscrĂšte originalitĂ©, provenant certainement des notes d’agrumes en arriĂšre bouche me faisant penser un peu Ă  du fanta orange.
Ainsi queeee
 Une fine amertume en entrée de bouche qui caractérise ce gout unique fidÚle à la transparence trouble de sa couleur.
Bolo : Mwwouais. Ça veux rien dire booyah.
Pepito : Attend, t’as dĂ©jĂ  lu une review Ă  booyah ?
Bolo : Elle a vraiment une couleur d’urine infectĂ©, avec la mousse d’eau de vaisselle qui est retombĂ©
Booyah : La mousse est dĂ©cevante, c’est vrai. Il faut qu’elle soit belle et onctueuse.
Mais c’est Ă©tonnement comme c’est sec , un peu la consistance d’un vin sec.
Bolo : C’est fait oĂč cette merde ? En France ? Dans le 6-2.
Pepito : Wikipedia dit que la France est le deuxiĂšme producteur de chanvre au monde loin derriĂšre la Chine.
Bolo : Mais la Chine fait du chanvre de merde aussi !
Booyah : Ya vraiment que du marketing la dedans

La note de Bolo : 3. A peine meilleur que la Carapils.
La note de Pepito : 3.5. Que cette biÚre fasse chier Bolo est une chose rectale. Je met donc une note légÚrement supérieure.
La note de Booyah : 6. Oui car certes c’est un peu light mais c’est sommes tout plutît bon, et ce petit coup original me plait.

il a rĂ©ussi Ă  commercialiser son breuvage-maison, courant 2006, sous l’étiquette « La bĂ©bĂȘte qui monte ».
La brasserie artisanale était alors installée dans un hangard de son beau-pÚre, agriculteur à Haisnes.
Depuis, Thomas a fait un sacré bout de chemin et transformé sa passion pour le houblon en profession.

2 000 litres pour tester
En aoĂ»t 2007, il s’est en effet dĂ©cidĂ© Ă  crĂ©er seul « La brasserie artĂ©sienne ».
Il lance alors la « Saint-Glinglin », une blonde triple de fermentation haute Ă  9°, qui n’a rien Ă  envier aux biĂšres d’abbayes belges. « C’est assez costaud. C’est la plus forte biĂšre artisanale de la rĂ©gion, brassĂ©e sans conservateur ni additif. Elle vient d’ailleurs d’ĂȘtre mĂ©daillĂ©e dans un concours national », souligne le jeune entrepreneur, qui en a produit environ 9 000 litres depuis l’étĂ© dernier.
Sa « Weed » n’en est pas encore lĂ , mais aprĂšs trois semaines seulement d’existence, les prĂ©visions sont plutĂŽt bonnes. « J’ai tirĂ© 2 000 litres pour tester la clientĂšle.
Elle est commercialisĂ©e chez quelques grossistes, mais je fais surtout de la vente directe Ă  des bars et discothĂšques de la rĂ©gion, qui reçoivent un public jeune. » Ainsi, Thomas a dĂ©jĂ  sĂ©duit des patrons de cafĂ©s et de pubs Ă  Arras, Lille, Lens et BĂ©thune, oĂč la « Weed » se consomme en bouteille de 33 cl, de prĂ©fĂ©rence sans verre.

Pas d’effet planant...
La nouveautĂ©, l’originalitĂ© de cette biĂšre, la seule au chanvre au nord de Lyon, y sont certainement pour beaucoup. Mais ce serait manquer de respect au palais de son fabriquant, d’abord consommateur, que de ne pas Ă©voquer son goĂ»t, unique lui aussi. « C’est trĂšs fleuri au nez avec une forte odeur d’agrumes.
Le goĂ»t est assez difficile Ă  expliquer, assez herbacĂ©, Ă  mi-chemin entre la fraĂźcheur d’une blanche et l’amertume d’une Orval »,commente Thomas. Question Ă©thique, l’ingĂ©nieur, fourni en chanvre par un producteur isĂ©rois, se veut rassurant.
MalgrĂ© son nom, bien connu des fumeurs d’herbe, puisqu’il qualifie la marijuana en anglais, la « Weed » n’a pas d’effet planant... « Le chanvre, c’est du cannabis sans THC, sa substance active » , prĂ©vient-il.
Pas d’effet planant peut-ĂȘtre, mais Ă  5,5°, enivrant quand mĂȘme...

LĂ , on se marre bien.
Pour corroborer nos dires, un lien menant vers un forum d'autres testeurs
http://forum.touteslesbieres.fr/topic4078-weed.html

On voit vraiment que c'est une biĂšre marketingay.

Et je confirme qu'on a bu ce breuvage à Ere, et entre Chacals fourbu d'une dure journée de labeur. J'en veux pour preuve cette image :

Fourbu


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